Kintsucoli : quand un colibri pratique le kintsugi
KINTSUCOLI est un néologisme, un mot que j’ai créé et qui allie deux éléments symboliques puissants malgré leur délicatesse. D’abord KINTSU de KINTSUKUROI… Vous avez sans doute déjà entendu parler de cet art japonais ancestral qui consiste non seulement à réparer un objet cassé mais aussi à sublimer ses fissures en y appliquant de la poudre d’or. L’objet devient alors plus fort, plus beau et unique. Par analogie, nous pouvons facilement y voir nos propres fêlures…D’autre part, COLI de COLIBRI, oiseau très étonnant, car malgré sa petite taille, il a une symbolique très puissante. Chacun pourra y voir ce qui lui parlera le plus. Sa contribution est humble et importante à la fois, comme le raconte cette jolie légende amérindienne. Il peut aussi inviter à la joie, la légéreté, la résilience et à l’engagement pour SOI et le MONDE.
Par analogie à nouveau, l’accompagnement que je propose est donc une invitation à l’accueil et l’acceptation de vos fêlures, à la mise en oeuvre de ce qui est en votre pouvoir pour réparer cela et comment sublimer votre singularité , avec délicatesse, persévérance et pourquoi pas avec joie et légéreté…
Mon parcours Kintsucoli
« On n’enseigne pas ce que l’on sait ou croit savoir, on enseigne ce que l’on est. »
Jean Jaurès
Aujourd’hui, je suis sophrologue. Je ne suis pas très loin de mon premier métier que j’ai exercé avec passion dans l’Education Nationale. J’ai aimé transmettre les savoirs purement académiques, c’est vrai. Mais ce qui me rendait le plus accomplie c’était d’encourager, d’accompagner les enfants, les adolescents à se dépasser surtout quand ils étaient en « échec scolaire ». C’était très gratifiant de voir comment les ressources pouvaient se mobiliser et se déployer lorsque l’alliance se faisait… Pendant ce cursus de 20 ans, j’ai autant appris que j’ai transmis. J’ai appris à me connaître, à reconnaître mes forces, mes valeurs, mes zones d’ombre aussi. J’ai appris comment fonctionnait un système, comment les relations humaines pouvaient se tisser, comment elles pouvaient rendre fou, et aussi comment elles pouvaient être un levier de réussite !
Je me suis posé beaucoup de questions, des réponses j’en ai trouvées quelques unes. L’une d’entre elle a été de découvrir la sophrologie. Revenir à soi, trouver ce petit coin de réconfort, d’apaisement où tout est alors possible de nouveau.